XVIII. Emploi, insertion :
pour une politique du juste droit

La crise a accéléré les mutations. Personne n’est à l’abri d’un accident de la vie. Nous accompagnons plus de 12.000 personnes bénéficiaires du RSA (Revenu de Solidarités Actives) vers l’emploi sur des métiers dont nous avons besoin (bâtiment, forêt, recyclage). Nous voulons lancer de nouveaux appels à projet en particulier dans le secteur du bois. Une politique du juste droit pour lutter contre la fraude sociale Gagner la bataille de l’emploi local ! Notre projet vise à favoriser l’accès et le retour à l’activité par une politique d’insertion juste et responsable. Notre méthode : lever les freins au retour à l’emploi. Ainsi, nous allons créer une plateforme d’emplois locaux « Job21 » pour faciliter la mise en relation des employeurs et des chômeurs. Objectif jeunes ! Dès le début du mandat, nous allons permettre à 300 jeunes Côte-d’Oriens d’accéder à une 1ère expérience professionnelle = 100 emplois d’avenir, 100 services civiques, 100 contrats d’apprentissage au sein des services départementaux. L’action en faveur de la réussite au permis de conduire s’inscrit dans cet esprit, afin de faciliter les déplacements vers l’emploi. Pour faire reculer le décrochage numérique (l’illectronisme), nous continuerons à renforcer la formation de nos travailleurs sociaux aux outils numériques.

Le chiffre : 450
C’est le nombre de bénéficiaires du RSA qui se sont engagés dans le dispositif départemental de cumul revenu du travail et aide sociale dans le cadre du programme exceptionnel de soutien face aux conséquences de la crise sanitaire.

Coup de projecteur sur l’égalité femmes hommes Lancer un nouveau dispositif « Ouvrons les métiers à tous » – Une Convention avec les Chambres Consulaires (pour faciliter l’accès des femmes et des hommes aux secteurs professionnels trop unisexués). – Une bourse départementale « Boost’Emploi » (versée une à deux fois par an à un ou une étudiant(e) qui s’oriente vers une formation ou un apprentissage dans un métier dit « stéréotypé », dans une logique de réciprocité (pour les femmes exerçant une profession dite « d’hommes » et des hommes une profession dite « de femmes »). – Un programme décliné auprès des associations partenaires ainsi que dans les collèges (Pour le stage de 3ème, offrir des stages au sein du Département dans les métiers cibles). – Des actions de lutte contre la désertification médicale (prendre en compte la forte féminisation des professions médicales et envisager un accompagnement adapté (horaires, services, gardes d’enfants, etc.). En concertation avec les professionnels de santé [Charles].
  • Réduire les inégalités femmes-hommes via les politiques de solidarités
  • Lutter contre les stéréotypes, source d’intolérance.